« Arrêtez de m’emmerder ! » : Luc Ferry pousse un gros coup de gueule après la polémique sur son salaire

Luc Ferry est en colère. Pointé du doigt depuis qu’il a affirmé que 3 000 euros par mois n’étaient pas suffisants pour vivre, l’ancien ministre a poussé un coup de gueule dans sa story Instagram.

Toute vérité n’est pas bonne à dire. C’est ce qu’a appris à ses dépens l’ancien ministre de la Jeunesse, de l’Éducation nationale et de la Recherche Luc Ferry. Ce mardi 5 mai, ce dernier avait été invité dans l’émission de Jordan de Luxe sur Non Stop People. L’occasion pour lui de rétablir quelques vérités, notamment concernant son salaire. Contrairement à ce que pourraient penser certains, il a affirmé ne pas vivre dans l’opulence. Lui, qui touche environ 3 000 euros par mois, estime même que cela n’est pas suffisant pour vivre. « Il me faut plus que ça ! J’ai des filles qui sont encore jeunes, qui ont 20 et 21 ans. Mais avec 3000 euros je n’arrive évidemment pas à vivre. Mes filles sont dans des écoles extrêmement chères. J’ai emprunté 200.000 euros pour les études de mes filles (…) alors, évidemment, c’est la meilleure école du monde ! », a expliqué l’ancien collaborateur de Jean-Pierre Raffarin. Des confidences qui ont fait bondir les internautes, lesquels rêveraient de gagner autant que l’homme politique de 70 ans.

Luc Ferry fait une mise au point

Comme il fallait s’y attendre, les propos de Luc Ferry ont provoqué la colère des internautes. Alors que la polémique ne cesse d’enfler, il a donc fait une petite mise au point sur ses réseaux sociaux. « Un journaliste m’a demandé quels étaient mes revenus. J’ai répondu honnêtement parce que je n’aime pas me défiler, que j’avais ma retraite de prof qui est en gros de 3 000 euros plus mes droits d’auteur. Je ne me plains nullement. Il faut arrêter de m’emmerder avec ça ! », a-t-il lancé dans une vidéo postée dans sa story Instagram et intitulée « Coup de gueule ».

« Je suis locataire, je ne suis pas propriétaire. J’ai mes droits d’auteur, j’ai la retraite de prof, et rien d’autre, je ne suis pas un nabab, je ne me plains absolument pas, mais foutez-moi la paix ! J’ai le droit d’avoir ma retraite et mes droits d’auteur et mes livres. Je n’ai rien d’autre », a ensuite conclu le mari de Marie-Caroline Becq Fouquières. De quoi, il l’espère, mettre fin au débat une bonne fois pour toutes.


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